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août 21 2023

RESOLVE 2023 – « Abu Dhabi International Dispute Resolution Forum » (1)

https://www.adgm.com/events/resolve-2022/event-archive

Joseph IRANI était déjà présent à la première version inaugurale du Forum RESOLVE en 2022. Ce forum est important pour l’avenir des projets Energies/Environnement/Climat/Citoyens et surtout des réalisations de ces projets à l’international pour atteindre le NET Z.

Pour « les nouveaux lecteurs » de notre blog, un rappel sur l’historique de cette longue action professionnelle (depuis 2008) se trouve dans les lignes qui suivent. Pour le B4E, ces efforts « de regarder ce qui se passe ailleurs » avaient enrichi continuellement notre patrimoine expertal.

La France fait partie des pays fondateurs de l’IRENA (International Renewable Energy Agency). Mme PELOSSE (France) était sa première directrice générale. Son principal objectif était que cette agence devienne un acteur principal pour le développement des énergies renouvelables et la lutte contre le changement climatique. Nous avons participé au lancement festif en 2009 aux Emirats en sa présence et celle de Monsieur Jean-Louis BORLOO, à l’époque ministre de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer, en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le Climat.

En 2013 Monsieur François HOLLANDE, Président de la République était présent au WFES et avait visité MASDAR CITY « exemple comme ville d’avenir ». Joseph IRANI B4E était aussi présent et retient du discours de M. HOLLANDE : « Si nous ne faisons rien, nous n’engageons rien, nous investissons rien, alors nous sommes sûrs que la catastrophe viendra »…Le défi était alors lancé et avait donné RDV pour 2015 à PARIS.

En 2019 et 2020 : c’est à Monsieur Laurent FABIUS, Président du conseil constitutionnel Français et chef d’orchestre des accords de Paris sur le climat, de faire son intervention à l’ouverture du forum sur le financement durable. La première version de L’ADSFF avait eu lieu en 2019, l’idée est de créer un « club » de financiers qui s’organisent pour financer des projets de développement durable.

Et en 2020, il y a eu la mise au point de la « convention cadre » qui lance ce « club des financeurs ».

Et afin de donner des moyens concrets à ce « hub financiers », les Emirats prévoyait doter ce hub de 10 milliards de Dollars pour des prêts et cela pour les 10 prochaines années.

Notre Expert Joseph IRANI était invité et présent à la création de cette dynamique financière internationale pour le climat.

A ce stade on répond clairement au principal frein pour les réalisations des projets dans beaucoup de pays : « pour développer et promouvoir les énergies propres il faut de l’argent » Et on répond aussi à un des thèmes IMPORTANT de l’ONU : « CLIMAT FINANCE FOR SUSTAINING PEACE »

… Vous trouverez la suite lors de la prochaine publication de ce blog ….


janv. 16 2018

COP23 à Bonn : La fin optimiste

Nous terminons nos réflexions sur le vécu de la COP23 sur une rencontre très optimiste: Joseph Irani avec le préfet de la région Fukushima


 

déc. 31 2017

Stand Cinov à World Efficiency

Nous étions présents toute la journée au stand de Cinov à World Efficiency le 14 décembre 2017.

On n’a pas vu l’affluence des salons habituels – c’était peut-être lié à ce dernier jour de l’événement.

Mais la problématique affichée de notre présentation autour de l’usine du futur a permis d’engager de nombreuses discussions :

déc. 10 2017

Le retour de la COP 23 en prévision de World Efficiency

La 23ème conférence sur le climat COP23, organisée par les Iles Fidji, a eu lieu à Bonn en Allemagne du 06 au 17 novembre 2017. Notre Expert, Joseph IRANI était présent du 10 au 17 novembre.

Les participants aux évènements et débats parallèles, qui accompagnent les négociations officielles, étaient particulièrement bien accueillis. Tout était organisé pour faciliter l’accès, l’enregistrement et l’orientation vers les nombreux lieux des débats sur les nombreux sujets de la COP. Tout au long des journées, un bar café et boissons étaient disponibles et le repas de midi était servi pour tout le monde.

Le préalable précédent mérite d’être signalé. En effet, ces zones qui sont dédiées au monde associatif et populaire, pour permettre à tout un chacun de partager sa vision sur le changement climatique, sont “moins bien servies” que celles des officiels et les “gens importants de ce monde”. Un merci pour les organisateurs de ces journées.

Pour les discussions offcielles, la presse a déjà fait part de son contenu ainsi que des résultats, globalement c’est plutôt un sentiment de déception qui en filtre. Nous partageons ce sentiment au vu de ce que nous attendions “de concret” de cette COP. Le Présidant de la République Française, M. E. MACRON, avait fait part de son inquiétude pour les retards pris pour la mise en oeuvre des accords de Paris.

Joseph IRANI a l’expérience du suivi de ces grands RDV internationaux, c’est dans les espaces de discussion “populaires” qu’il trouve l’expression des besoins des populations qui subissent les effets du déréglements climatiques et surtout les difficultés qu’elles rencontrent pour leur quotidien. Leur voix n’est pas toujours fidèlement relayée… Nous sommes engagés dans le développement durable depuis les années 80. Ecouter les besoins, trouver les solutions adaptées au lieu, tenir compte l’humain et sa culture et ses moyens font partie de notre approche d’Expertise résumé par :

Energy for all, Local ressources Local choices.

Les débats

L’organisation et la méthode utilisée pour mener les débats a permis à tous les participants de s’exprimer et de donner leurs opinions sur les thèmes traités.

Les débats étaient de grande qualité et géré “comme à l’université”…

Notre déception, pourquoi?

la déception est à la hauteur de notre attente.

Nos attentes de la COP23 étaient la concrétisation de la COP22 de Marrakech dont les décisions étaient une suite logique des accords de Paris. Sur ce point notre déception est grande, et il nous faudra attendre la COP24 en 2018 pour commencer à préparer 2020. Alors, RDV est donné en Pologne pour l’année prochaine. Une année perdue pour le climat, malgré l’urgence de l’action exprimée par les pays comme la France…

Une question qui restait en suspend qui concerne les pays “pauvres” : pour les financements dédiés au climat à destination de ces pays, comment on fera la différence entre le développement et le climat? Et plus simplement comment on fera du climat sans le développement social et économique dans les pays pauvre? Encore pas de réponse, et aucun débat ni aucune sensibilisation n’étaient organisés sur le sujet à Bonn.

Il y a aussi une question de “mobilisation” et à contrario de “démobilisation”. Le Maroc s’est placé volontier comme la “porte de l’Afrique”, il a mobiliser les compétences de ses entreprises pour accompagner les futurs chantiers pour le climat. Il a aussi mis en place une réglementation spécifique pour l’écologie et des mesures pour la monnaie nationale… En manque de signaux positifs pour la mise en application des décisions des COP21 et 22, les doutes s’installeront et ensuite la démobilisation.

Actualité Hors COP

Les différentes visites récentes de nos dirigeants (MM. MACRON et PHILIPPE) au Maroc nous laissent une lueur d’optimisme : peut être ils vont préparer le terrain pour 2020, en effet il y aura besoin de nos compétences et nos savoir-faire pour accompagner le Maroc dans le soutien aux pays Africains.

Le cadre et le public:

COP23 : COP22 :

A la COP22, la population des pays d’Afrique était présente, elle s’exprimait sur leurs besoins par la voix des différentes associations présentes. Par exemple, une des associations réclamait le droit à l’accès à des toilettes propres… Dans les salons feutrés de Bonn, on réclamait plutôt des logiciels pour la gestion du business model…

Business (COP23)

Education (COP22)

 

 


 

nov. 15 2017

COP 23 à Bonn: Un premier retour des débats

Après les COP21(Paris) et COP22 (Marrakech), nous participons logiquement à la COP23 qui se déroule actuellement à Bonn en Allemagne.

Voici DC-Days-2017-Key-messages des débats – effectivement, nous ne pouvons pas être partout.

 


 

janv. 06 2017

Après COP 22: Deux mondes face au développement durable

Nous commençons cette année avec une dernière réflexion suite à notre participation à la COP22 à Marrakech.

A Bab Ighli, la proximité de la zone verte et de la zone bleu, faisait apparaître deux mondes : le monde des pays en attente des solutions à leurs besoins -et le monde des pays qui détiennent ces solutions et les moyens pour les mettre en œuvre.

Le sujet est très complexe et particulièrement difficile à détailler. On a envie de préciser : le développement durable n’est pas « l’installation d’un panneau solaire » ! La construction d’un hôpital avec des panneaux solaires, sera-t-il un investissement pour le climat ? Ou bien tout simplement un investissement pour répondre au besoin social d’un hôpital pour la population. Idem pour les écoles.

Quelle sera donc la logique de financement d’un vrai développement durable dans les pays d’Afrique ? Le « local ressources, local choices » que nous portons a toute sa place dans cette réflexion. Nous retenons une lueur d’espoir dans la proclamation de Marrakech :

« la transition requise de nos économies pour atteindre les objectifs de l’accord de Paris fournit une opportunité positive et substantielle pour une prospérité accrue et un développement durable »

Et aussi :

« Nous appelons toutes les Parties à renforcer et à soutenir les efforts pour éradiquer la pauvreté, assurer la sécurité alimentaire et prendre des mesures rigoureuses pour faire face aux défis des changements climatiques dans le domaine de l’agriculture »

Cop 22

Madame Elisabeth GUIGOU était présente à la COP22.

Madame GUIGOU est née à Marrakech. Et c’est peut être une raison de plus pour participer à la réussite de cette COP.

Elle l’avait déjà fait en début 2015, en tant que présidente de la commission des affaires étrangères, quand elle a accueilli Madame Hakima Ei-Haiti, ministre déléguée chargée de l’environnement du royaume du Maroc. En cette période, il était question de la préparation de la COP21 de Paris, et de celle de la COP22 à Marrakech, puisqu’on savait à l’époque que le Royaume du Maroc a été désigné pour présider cette dernière.

nov. 27 2016

Après la COP 22 – Nos refléxions

La question que nous posent spontanément nos partenaires, connaissances et élus locaux : la COP 22 était-elle réussie ?

La réponse rapide est fatalement oui, puisque la prise de conscience des dérèglements climatiques et le RDV annuel pour en parler sont fondamentalement des actes positifs. En effet, ces rencontres rappellent sans cesse à l’humanité les dangers climatiques qui la guettent.

Avant la COP22, il y avait la 21, la 20, la 19 et la 18… Nos Experts regardent les évolutions et cherchent en permanence quelles rôles doit jouer notre réseau d’Experts pour être et rester un acteur « constructif » dans la lutte contre le réchauffement climatique ? Il s’agit pour le réseau de transférer des savoir-faire de R&D, et des expériences technologiques et scientifiques dans les domaines énergétiques vécus dans un pays industriel tels La France ou l’Allemagne.

Apres la COP 22

A Doha, c’était la COP de « la dernière conférence de la dernière chance », à Varsovie c’était la COP « du tournant en l’atténuation et l’adaptation », à Lima on parlait déjà de « green economy », à Paris la COP des accords et Marrakech était sous le signe de « l’action ».

Les pays du nord s’engagent à atténuer les rejets à l’origine de l’effet de serre, et aident les pays « non industriellement développés » à s’adapter aux conséquences du réchauffement climatique qui sévi actuellement chez eux. Les fameux accords de Paris étaient claires sur la répartition des efforts financiers pour le climats : la répartition 50/50 entre l’atténuation et l’adaptation.

Or ce n’est pas ce qu’on observe dans la réalité, les sommes consacrées au climat sont en deçà des réels besoins et dans la pratique des répartitions, on est très loin des 50/50. Les 50% consacrés à l’adaptation, destinées aux pays du sud, c’est « la dette climatique » qui engagent les pays industrialisés et qu’avait évoqué à la COP21 M. François HOLLANDE, président de la République Française. Quand l’adaptation ne représente que 20%, ce n’est pas une situation équitable pour les pays du sud qui subissent le dérèglement climatique causé par les pays du nord. Sans vouloir faire d’étalage de chiffres dans cet article, nos différentes discussions sur place donnent une idée sur une fourchette des besoins pour l’adaptation 300 à 500 milliards de Dollars par an, et le seuil maxi discuté à la COP22 est de 1 Milliard/an. Ci-après le texte tel qu’il a été rédigé dans la proclamation de Marrakech :

« Nous appelons à une augmentation des financements, des flux et de leur accès, conjointement avec une amélioration de la capacité et de la technologie, y compris des pays développés vers les pays en développement. Nous les pays développés Parties, réaffirmons notre objectif de mobiliser 100 milliards de dollars américains. »

Apres la COP 22 - education

A Marrakech la coopération sud/sud semble être le cadre qui servira au déploiement des actions et des financements. A part les actions du Maroc vers le continent Africain qui sont visibles, les mécanismes que mettra en place l’ONU pour pulser cette coopération ne sont pas encore clarifiés.

Sur le plan industriel et celui des nouvelles technologies, la question importante qui se pose à nous est : comment se feront les transferts des savoir-faire nord/sud ?

nov. 22 2016

COP22: Les débats dans la zone verte et le développement local le 16 novembre 2016

Dans la zone verte l’ensemble des problématiques en lien avec le développement des pays et en particulier ceux de l’Afrique a été débattu: l’agriculture, l’eau et surtout la vie quotidienne de millions de personnes du continent. L’énergie et l’accès à l’énergie n’est qu’un des points de ce débat.

Dans notre domaine de compétences, le solaire et l’éolien sont systématiquement mis en avant. Or se sont des énergies intermittentes et leurs usages efficaces doit en tenir compte. Il faudra donc concevoir, pour chaque projet, un système énergétique adéquat, qui permettra la continuité de la production électricité pour assurer les besoins des utilisateurs d’un réseau, d’une usine de production industrielle ou bien d’un village.

Toujours sur le principe du développement durable et l’esprit “Local Ressources, Local Choices”, voici deux exemples :

Premier exemple :

Les montagnes majestueuses de l’Atlas constituent un stock d’eau sous forme de neiges. Il s’agit donc d’un énorme stock d’énergie. A défaut d’un accès Internet, notre “culture énergétique” nous permet de dire que des productions électricité hydraulique existent déjà au Maroc. Et un projet relativement récent existe (peut être en construction) sur le principe de bassins communicants servant a stocker l’énergie hydraulique quand les besoins sont bas, et restituer cette énergie pour palier aux aléas des énergies renouvelables. Il s’agit d’un mix énergétique complémentaire.

Nota : l’eau sert aussi au développement de l’agriculture.

Beit Alouidiane

Photo “touristique” du lac artificiel à usage touristique de “Bein alouidiane” (photos interdites dans la zone du barrage)

Deuxième exemple :

Pour les installations spécifiques comme une usine ou un village, le mix énergétique doit être en mesure d’assurer le besoin énergétique du fonctionnement de l’usine ou de la vie quotidienne et de services du village.

Sur un stand à la COP22, la Technische Universität Wien présente son système de “ combination of power-to-gas with biogas plant”. Il s’agit par ce système de synchroniser en permanence la disponibilité de l’énergie en fonction de la demande. Le biogaz, produit et stocké, joue le rôle de tampon d’énergie pour palier aux intermittences des énergies comme le solaire ou l’éolien.

D’autres conceptions ou adaptations des systèmes énergétiques existants seront possibles et rentables économiquement. Dans tous les cas, les études préalables de faisabilité doivent être réalisées OBLIGATOIREMENT.

Un sujet de réflexion pour les étudiants de l’INSA du Maroc : Voici la photo du résidu d’olives après la phase du pressoir. Photo prise à proximité des villages agricoles et qui produisent l’huile d’olive*.

Residus olives

*Très utile quand on sait que des enfants font des kilomètres pour aller a l’école et l’hiver l’école n’est pas chauffée.

nov. 17 2016

COP22: Visite du Président de la République le 15 novembre 2016

La visite du Président de la République a marquée cette journée?

COP22 visite du Président

nov. 12 2016

COP22: Economie circulaire le vendredi 11 novembre 2016

Sur le thème de l’économie circulaire, le B4E a son expérience a partager et en particulier un message concret territorial.

Joseph IRANI a participe aux discussions parrainées par Mme Segolene ROYAL sur le thème de l’économie circulaire pour les climats, deux tables rondes sur : les initiatives des entreprises et des territoires.

COP22 Economie circulaire Table ronde entreprises

Une petite remarque : cette photo montre encore une fois qu’au niveau des directions de nos entreprises, la parité n’existe pas, elle est a faire.

A l’initiative de cette après midi, MM. Jean-Louis CHAUSSADE (DG de SUEZ) et Jean-Dominique SENARD (PDG de Michelin)

Quelques points (notes de Joseph IRANI):

  • Il y a du “recyclage” de ce qu’on faisait depuis longtemps, avec des objectifs renforces (exemple le cas de SAINT-GOBAIN).
  • La majorité des entreprises font de l’économie circulaire avec “elles mêmes”. Il faut aller plus loin, d’où le besoin d’une réglementation qui va au-delà du chapitre dans la loi de la transition énergétique.
  • Les actions de l’économie circulaire sont imminents TERRITORIALES. Il faudra donner de la valeur aux actions de l’EC : comme par exemple créer une monnaie locale spécifique (M. Le député LAMBERT)
  • LafargeHolcim Maroc : Sur un des sites, des éoliennes ont été installées, en collaboration avec AREVA, pour produire de électricité. L’objectif sera d’atteindre les 70% des besoins.
  • LafargeHolcim Maroc : une action sur les déchets de la ville ou l’entreprise, en collaboration avec la ville, sera en capacité de valoriser énergétiquement 50% des déchets générés.
  • Veolia a donne un exemple d’une action EC dans une ville allemande
  • la RATP : l’exemple des travaux de la ligne 14, la mise en place de pompes a chaleur avec échangeurs enfouis dans le sol. Ces PAC alimenteront en chaleur les logements créés en surface.

A la COP22, les questions agricoles sont omniprésentes puisqu’il s’agit d’une préoccupation majeures de certains pays. Le Président de BOSCH région d’Afrique, a donne la stratégie de l’entreprise dans le domaine de l’agriculture : rendre l’agriculteur autonome en lui donnant les moyens pour gérer et optimiser l’usage de l’eau par exemple. Jusqu’à même gérer son exploitation avec un smartphone.

Joseph IRANI est intervenu sur le cas du club de l’eco industrie sur la ville de La Courneuve. Un club qui a fonctionne pour quelques années, et un jour il n’y a plus rien… Motif : il n’y a plus de subventions! Ce club a travailler pendant et cumuler un savoir local important sur le tissu des EC, et tou a ete perdu et surtout CELA N’A CRÉÉ AUCUNE COMPÉTENCE LOCALE SUR LE SUJET.

COP22 Economie circulaire Table ronde territoire

Table ronde économie circulaire territoires – il y a quelques femmes sur le podium