Category: International – WFES 2012

oct. 24 2023

RESOLVE 2023 – « Abu Dhabi International Dispute Resolution Forum » (3) et fin

… Vous trouverez ici la suite lors de notre dernière publication de ce blog ….

LES PRINCIPAUX THEMES DE RESOLVE 2023

Anticiper et atténuer les risques et les litiges liés à l’ESG

Le changement climatique et le Développement Durable sont les enjeux déterminants de cette décennie. Les coûts commerciaux et de réputation de « se tromper en matière d’ESG » sont élevés, mais comme les entreprises ont appris à répondre aux exigences ESG de manière coordonnée, les demandeurs ESG ont également coordonné leur approche, et l’éventail des défendeurs, des sujets de litiges et des demandeurs continue de se diversifier. .

Dans la perspective de la COP28 et de l' »Année du développement durable » des EAU, cette session se penchera sur le vaste éventail de différends potentiels en matière de développement durable, y compris les litiges sur le changement climatique, la transition énergétique, les questions investisseur-État (public-Privé), ainsi que le contrôle accru des consommateurs et de la réglementation découlant d’allégations de « greenwashing ».

Implications et opportunités pour le secteur juridique

Estimées pour augmenter le PIB mondial de 1,76 billion de dollars au cours des 10 prochaines années, les technologies Web3 telles que les NFT, les actifs numériques, les DAO et les métavers et l’IA qui les alimenteront attirent rapidement l’attention du grand public. Bien qu’innovantes, ces technologies sont également perturbatrices et remettent en question les hypothèses traditionnelles de fonctionnement des systèmes juridiques, ce qui rend difficile l’application des cadres juridiques existants pour la rédaction de contrats, le dépôt de documents, le stockage de documents et l’établissement de marques. Présentation d’exemples concrets et des tendances actuelles dans le paysage juridique du Web3 et comment celui-ci pourrait être façonné à l’avenir.

LBC/FT et sanctions

Les réglementations en matière de LBC/FT et de sanctions jouent un rôle déterminant dans la prévention, la détection et la lutte contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme, la corruption et d’autres délits. La crise financière de 2009 a mis au jour une myriade d’activités problématiques et de lacunes réglementaires, qui ont conduit à une augmentation significative de la réglementation gouvernementale pour les banques et autres institutions financières. 2009 a également été (peut-être pas par hasard) l’année où Bitcoin, la première crypto-monnaie décentralisée, a fait ses débuts. L’environnement réglementaire accru pour les banques traditionnelles, associé à la croissance rapide des monnaies numériques non traditionnelles (et largement non réglementées) au cours de la dernière décennie, a créé la tempête parfaite pour un couloir toujours croissant et plus insaisissable de fonds illicites, de financement du terrorisme et le blanchiment d’argent.

Alors, que réserve l’environnement réglementaire actuel aux banques et aux entreprises mondiales et régionales ? Comment les régulateurs gouvernementaux appliquent-ils leurs lois dans un monde globalisé de haute technologie ? Comment les entreprises doivent-elles faire face à ces menaces et minimiser les risques dans le monde d’aujourd’hui ?  Ces questions ont été abordées de points de vue très différents : celui des régulateurs, celui des institutions bancaires traditionnelles et celui des fournisseurs de monnaie numérique.

INFRASTRUCTURE

Avions, trains et automobiles

Cet aspect a été traité sur le plan local.

Des voitures volantes aux villes durables, en passant par les projets ferroviaires et aéroportuaires transformateurs, et toutes les chaînes d’approvisionnement surchargées entre les deux… que se passe-t-il vraiment dans les secteurs de la construction, des infrastructures et des transports aux EAU ?  RESOLVE explorera les priorités actuelles des Émirats et les perspectives d’un avenir durable.

Conclusion ou plutôt ce qu’il faudra retenir

RESOLVE a mis le doigt sur un problème important que je résume :

Compte tenu de ce qui a été mis en exergue comme les risques de litiges qui pourraient durer dans le temps, de la lenteur de l’adaptation de la réglementation aux changements rapide des différentes technologies et les risques des dérives dans le domaine de la finance… Je conclu et je m’inquiète : il ne faut pas laisser les problèmes débattus dans ce forum sans solutions rapides, en effet s’ils prennent le dessus sur la volonté d’investir durablement, cela va certainement « plomber » toute démarche publique ou privée pour le développement durable (locales ou à l’international).


sept. 18 2023

RESOLVE 2023 – « Abu Dhabi International Dispute Resolution Forum » (2)

… Vous trouverez ici la suite lors de notre dernière publication de ce blog ….

ET APRÈS?

Nous nous rappelons de 2022 : L’édition inaugurale de RESOLVE 2022

ABU DHABI INTERNATIONAL DISPUTE

Il s’agit de a première édition du forum RESOLVE 2022, qui s’est tenue le 16 mars 2022. Elle a réuni plus de ~2 000 participants locaux et mondiaux, représentant la communauté locale et internationale de règlement des litiges.

Le préalable précédent était utile pour montrer l’importance d’une « démarche pour le développement durable » « pas à pas  et durable dans le temps de 2008 jusqu’à 2023, qui se résume :

1-La volonté de s’impliquer dans la démarche du développement durable,

2-mettre les moyens (pas seulement financiers),

3-chercher les technologies et les connaître, (le WFES début janvier depuis 2008)

4-Pour que ces technologies puissent se développer, il faut faciliter les financements (l’ADSFF en janvier)

5-s’agissant d’une démarche ouverte à l’internationale, se préparer pour résoudre les éventuels litiges devient la question primordiale. C’est l’intérêt des RESOLVE…

A suivre 2022-2023 et nous sommes prêts pour 2024

RESOLVE 2023

La deuxième édition de RESOLVE s’est tenue le 06 mars 2023. Après la première édition 22 la thématique traitée est plus ciblée sur les difficultés du moment et une réflexion sur l’avenir dont les types de « sources des litiges internationaux ».

Alors que les organisations du monde entier sont aux prises avec de nouveaux objectifs climatiques et par conséquent des évolutions technologiques spécifiques et souvent complexes, la réglementations quand à elle cherche à s’adapter en mettant en place des sanctions et une surveillance réglementaire plus stricte… le Forum 2023 s’est plongé dans ce paysage juridique et réglementaire international avec comme objectif de tirer des conclusions en analysant cette évolution rapide dans un intervalle de temps qui est finalement « court » (quelques années).

Le panel des intervenants et surtout les sujets traités sont à la hauteur des ambitions des organisateurs et en particulier Madame Linda FITZ-ALLAN.

Le forum s’est terminé avec une discussion avec Madame Hillary RODHAM CLINTON, Femme de Loi. La discussion s’est déroulée sur son expérience juridique, et surtout comment elle voit l’avenir et quels seront ses souhaits pour l’avenir

Prise de photos était interdite lors de l’interview de Mme CLINTON.

… Vous trouverez la suite lors de la prochaine publication de ce blog ….


janv. 30 2023

Clin d’œil: Nous en avons parlé déjà il y a 10 ans

Un reportage du journal Liberation du 4 septembre 2022 parle des problèmes de déforestation en Afrique qui sont liés à l’utilisation du bois entre autres pour cuisiner.

Cette problématique, nous l’avons déjà évoquée dans notre blog en janvier 2012, il y a donc plus de 10 ans avant qu’elle trouve un écho dans notre presse: Effectivement, dans le cadre de notre table ronde organisée lors de WFES 2012 à Abu Dhabi, Martina Kost a longtemps échangé avec Mme Hanan Magzoub, economist planner, Forests National corporation (Soudan).  Mme Magzoub avait présenté la problématique pour le Soudan et proposé des solutions par son sujet « Consumption of Fuel Wood ands Alternative Sudan ».

A vrai dire: Ce sujet qui concernaient à l’époque en premier lieu les femmes dont c’est la tâche de s’occuper de la cuisine et donc de chercher le bois, n’intéressaient très peu de personnes. Maintenant, l’évolution de cette problématique a entraîné un débordement – on commence à s’intéresser ….

Day 2 - Martina Kost et Hanan Magzoub

WFES 2012


 

mars 03 2020

WFES 2020 à Abu Dhabi: Notre retour sur la 13eme Edition

Quelle était l’originalité de l’édition vingt-vingt, la 13ème du WFES 2020?

A vrai dire, rien de particulier sur les technologies des énergies d’avenir…

Ce qui est nouveau, est certainement à trouver dans l’historique de cet évènement et de son évolution année après année.

La France fait partie des pays fondateurs de l’IRENA (International Renewable Energy Agency). Mme PELOSSE était sa première directrice générale. Son principal objectif était que cette agence devienne un acteur principal pour le développement des énergies renouvelables et la lutte contre le changement climatique. Nous avons fêté cet évènement en 2009 (ou peut-être 2010) aux Emirats en sa présence et celle de Monsieur Jean-Louis BORLOO, à l’époque ministre de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer, en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le Climat.

Cette année c’est à Monsieur Laurent FABIUS, Président du conseil constitutionnel Français et chef d’orchestre des accords de Paris sur le climat, de faire son intervention à l’ouverture du forum sur le financement durable. La première version de L’ADSSF avait eu lieu en 2019, l’idée est de créer un « club » de financiers qui s’organisent pour financer des projets de développement durable. Notre Expert était invité et présent à cette première session.

Ce qui était nouveau et original dans la version 2020 au WFES : la mise au point de la « convention cadre » qui lance ce « club des financeurs ».

A suivre :

Qui seront les financiers qui injecteront l’argent ?

Qui seront les pays ou les projets éligibles ?

Qui seront les spécialistes qui valideront que le projet est dans le champ du climat ?


août 02 2019

Notre Avis en bref: L’Hydrogen Road doit se développer de façon « propre et équitable »

L’hydrogène ?

Le « formeur d’eau », l’hydrogène est un combustible propre qui fournit de la chaleur sous forme de réaction exothermique :

2 H2 + O2 => 2 H2O

Sur le plan du climat, il faut ajouter : C’est un combustible propre, « à condition de le produire proprement ».

 

L’utilisation de l’hydrogène 

Son utilisation pour produire de l’énergie mécanique est technologiquement aisée, et on produit in-fine de l’énergie noble : du travail et/ou de l’électricité.

On peut utiliser les technologies thermodynamiques existantes moyennant des modifications pour tenir compte des caractéristiques physiques de l’hydrogène (y compris la tenue du matériau des moteurs par exemple).

Le business de l’hydrogène 

Les discussions entre Experts au WFES 2019 à Abou Dhabi, tournaient fortement autour de la question de l’hydrogène et surtout autour des perspectives de business qui accompagnera son développement.

Bien que l’IRENA (Agence internationale pour les énergies renouvelables) pousse à la roue pour accélérer l’usage du renouvelable, l’Agence reste toujours dans une logique de développement du solaire et de l’éolien en priorité.

Quel est le risque pour le climat ?

Le risque pour l’avenir est le développement et l’évolution du circuit technico-économique de l’hydrogène en roue libre.

Ce type de situation profitera aux marchés financiers… et certainement pas au climat.

Quel est le risque pour l’industriel ?

Les industriels sont respectueux de l’environnement dans le cadre réglementaire qui leur est imposé, ils sont attentifs à leurs dépenses énergétiques, de matières premières et de l’ensemble de leurs rejets.

A écouter leurs syndicats professionnels respectifs, ils sont même volontaires pour aller plus loin pour la défense du climat.

C’est où la limite? Pour l’hydrogène, la plus évidente est la sécurité d’approvisionnement.

Exemple Hydrogen Road présenté lors de WFES 2019 (photo):

Transport par voie maritime de l’hydrogène à partir des terminaux japonais vers l’endroit de consommation.


mai 03 2019

WFES 2019 à Abou Dhabi – Abu Dhabi sustainable Finance Forum (ADSFF)

Le 16 janvier 2019 a eu lieu la session inaugurale du premier ADSFF. Joseph IRANI y était invité et vous trouverez ici son résumé en exclusivité.

L’objectif stratégique de ce forum est de créer un solide HUB financier pour les investissements à destination des projets pour le climat. Le champs d’intervention de cette entité est local et aussi dans d’autres pays du monde.

A la signature de la convention, la banque d’Abu Dhabi s’est d’ores et déjà engagée à injecter 10 milliards de dollars sur les 10 prochaines années pour des prêts en faveur de ces projets.

Les 24 autres signataires de la convention étaient présents (Ministres, chefs d’entreprises ou Directeurs de structures étatiques), ainsi qu’un panel d’experts financiers et de banquiers pour les débats.

Les banquiers et les experts financiers avaient exprimé leurs difficultés à savoir reconnaître si un projet est « vert » ou pas. Ces projets sont techniquement complexes et ils souhaitent qu’il y ait un répertoire précis mis à leur disposition qui classe les projets et les technologies éligibles. Cela les rassure et leur permettra de répondre efficacement aux demandeurs s’ils pourront accorder ou pas un crédit « vert ».

Ce « Sustainable Finance Agenda », dont l’ADSFF en donne le coup d’envoi, se dit en phase avec les objectifs 2030 de l’ONU et ses 17 SDGs (Sustainable Developement Goals). Il s’agit de mobiliser les efforts pour un développement économique équitable, avec l’intégration du social et la protection de l’environnement.

Un élément IMPORTANT à relever : bien que nous étions dans le monde économique des finances et in-fine du « green business », il y a eu l’acceptation par les présents que le développement durable, le développement social et le bien être de la population sont inter-connectés. Remarque : Cela n’est pas évident à le traduire sur le terrain,Voir ce qui suit.

J’ai demandé un entretien à Mme Eila KREIVI directrice du Capital Markets Departement de la Banque Européenne d’Investissement. Le sujet étant : A la COP 22 du Marrakech, il a été décidé d’un montant d’aide pour le climat à destination des pays d’Afrique. Depuis on est resté sur une ambiguïté majeure : comment faire la différence entre les projets du développement économique et social avec les finances qui vont avec et les financements fléchés « climat » (et inversement)?

Madame KREIVI confirme la complexité de faire des « financements conjoints ». Néanmoins elle précise que dans les projets financés par la ligne du développement économique, le critère environnemental est toujours pris en compte. Et elle précise que dans les faits, cela dépend de la capacité d’un état à investir sur son projet par exemple (Je tiens à remercier Mme KREIVI pour ce temps de discussion constructif).

Pour ce sujet que nous portons depuis la COP de Marrakech, l’objectif à atteindre est le suivant :

Pour les pays d’Afrique concernés par les financements décidées à la COP22, tous les projets pour le climat doivent intégrer le développement social et économique.
Il faudra donc que les financements dédiés Climat ou/et développement économique puissent s’abonder mutuellement pour que chaque projet, quelque soit son objet principal, puisse être respectueux du climat et du développement de la société (y compris le transfert des savoir-faire et l’emploi local.


févr. 08 2019

WFES 2019 à Abou Dhabi – Masdar City aujourd’hui (suite et fin)

Cette année, comme pratiquement tous les ans, nous étions présents au WFES d’Abou Dhabi (World Future Energy Summit 2019).  C’est aussi l’occasion de suivre l’Assemblée Générale de l’IRENA et de rencontrer les représentants des pays membres. Plus de 10 ans après, nous souhaitions savoir ce qu’est MASDAR CITY aujourd’hui.

Trouvez ici les propos de Joseph IRANI (Partie 2 et fin) :

Et pour finir ce blog, la question du transport se pose. En effet, en période de grandes chaleurs, parcourir des longues distances à pied est particulièrement difficile. Sur ce point, il est interdit (voir pas possible) de circules au sein de Masdar City avec un véhicule à moteur thermique. Il existe deux situations pour le transport :

Première situation, l’arrivée à la ville :

 Un grand parking extérieur pour garer son véhicule « grande distance »

Un véhicule électrique autonome pour le déplacement vers la destination

Deuxième situation : piéton dans la ville

Un mini bus électrique et autonome transporte les piétons d’un bout à l’autre d’une rue. Il s’agit de l’AUTONOM SHUTTLE

Le groupe en visite a testé ces deux transports autonomes : ça fonctionne.

Ce blog ne couvre pas l’ensemble du WFES. Il y aura certainement un deuxième sur une nouveauté stratégique pour l’accélération des projets dans le renouvelable.

Lire la partie 1 de ce retour.


févr. 04 2019

WFES 2019 à Abou Dhabi – Masdar City aujourd’hui

Cette année, comme pratiquement tous les ans, nous étions présents au WFES d’Abou Dhabi (World Future Energy Summit 2019).  C’est aussi l’occasion de suivre l’Assemblée Générale de l’IRENA et de rencontrer les représentants des pays membres. Plus de 10 ans après, nous souhaitions savoir ce qu’est MASDAR CITY aujourd’hui.

Trouvez ici les propos de Joseph IRANI (Partie 1) :

J’étais avec une délégation de membres du conseil de l’IRENA* originaires de l’Afrique du Sud, et notre guide était le directeur de l’urbanisme et du développement durable de la ville.

Cette photo illustre 2 points :

  • Le travail minutieux des architectes avec les chercheurs de l’université que Masdar City abrite, pour une conception bioclimatique de l’ensemble de la ville. Par exemple, optimiser l’orientation des rues et des bâtiments pour profiter des vents dominants et de zones où l’ombre est privilégiée.

  • Le type de bâti et les matériaux utilisés sont différents entre le début de la rue et ceux qui se trouvent au fond de celle-ci. Il s’agit là des différentes phases de la constructions de la ville, où les architectes avec les chercheurs avaient étudié plusieurs type de matériaux et de compositions de parois.

La photo à gauche illustre le travail sur les espaces de détente sur la ville.

Cette tour que la photo montre, est placée sur une place centrale de la ville et sa fonction est de ramener de l’air rafraichi vers la place. Pour cela les concepteurs avaient utilisé le principe du rafraichissement adiabatique.

Remarque personnelle : je l’ai baptisé « la tour du bonheur ». En effet, au pied de la tour il y a écrit « HAPPINESS » et surtout il y a 2 ou 3 ans, l’Emirat avait nommé une jeune ministre : « ministre du bonheur ». Mes compagnons de visite ne voulaient pas croire…

 

* L’IRENA (International Renewable ENergy Agency) est l’organisation intergouvernementale dont la mission est la promotion des énergies renouvelables à l’échelle mondiale, elle accompagne les états dans leur transition vers les énergies d’avenir à bas CO2. Elle a été créée en 2009 dont M. Jean-Louis BORLOO s’est félicité à l’époque en disant que la France est fière d’être un pays fondateur et signataire du traité fondateur de l’IRENA. Son siège est à Masdar city à Abou Dhabi et Madame Hélène PELOSSE en était la première présidente. Nous y étions présents.

Lire la partie 2.


janv. 28 2016

WFES 2016 – Après notre retour

Voici de retour en France, avec le recul nos dernières impressions :

WFES 2016 est la première grande rencontre internationale après la COP 21.
Les quelques points notés des discours des orateurs :
– jamais avant, la volonté politique face au changement climatique et l’engagement dans le développement durable, ont été aussi forts qu’aujourd’hui
– toutes les formes d’énergies, traditionnelles et nouvelles, doivent travailler la main dans la main
– Un des grands challenge de l’humanité est d’avoir suffisamment d’énergies propres pour assurer la future demande énergétique
– toutes les nations du monde sont « touchées » par le changement climatiques, c’est de leur devoir d’assumer cette responsabilité globale
– l’accord de Paris était une victoire pour les peuples. Les gouvernements, les secteurs privés et les organisations internationales doivent maintenant le faire avancer
Dr Sultan Ahmad Al Jaber ministre d’état de l’EAU, président de MASDAR (l’hôte du WFES), M. Enrique Peña Nieto Président du Mexique, M. Ban Ki-moon secrétaire général des nations unies, avaient salué l’accord historique de la COP 21 à Paris.
Ban Ki Moon, secrétaire générale des Nations Unies
Citation de M. Ban Ki-moon :
« Il n’y a pas de plan B, parce qu’il n’y a de planète B » et notre tâche sera de faire en sorte que les accords de la COP 21 fonctionnent.
Dr Sultan Ahmad Al Jaber
Dr Sultan Ahmad Al Jaber ministre d’état de l’EAU, président de MASDAR (l’hôte du WFES)
Enrique Peña Nieto
Enrique Peña Nieto Président du Mexique
janv. 25 2016

WFES 2016 Day 4

Le dernier jour … Il reste le souvenir des moments agréables, comme par exemple d’écouter le « Recycled Orchestra ». Effectivement, WFES2016 a intégré la thématique de la valorisation des déchets. Cette initiative a été mise à l’honneur lors de la cérémonie d’ouverture.

Recycled Orchestra

« Recycled Orchestra » – Un moment agréable

Recycled Orchestra